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VOLET « ECONOMIE » DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

                  L'anti développement durable                                                                                    Le développement durable

 

Plan du volet économie

 

GENERALITES

 

 

MESURER CORRECTEMENT LA RICHESSE

 

 

UNION EUROPEENNNE

 

 

MONDIALISATION DAVOS

 

FISCALITE ET CHOMAGE

 

 

                                                                           Accès direct vers les onglets :

 

                                                                           LE DEVELOPPEMENT DURABLE ET SES TROIS VOLETS INDISSOCIABLES

 

                                                                           VOLET "SOCIETAL"

 

                                                                           VOLET "ENVIRONNEMENT"

 

                                                                            VOLET "ECONOMIE"

 

 

Notre parti pris

Juillet 2015

 

Depuis l'an 2000, nous avons publié de nombreux articles dans la presse et écrit de nombreuses notes de réflexion sur l’économie. A l’occasion de la refonte totale de notre site, en juin 2015, nous avons fait le choix d’être très sélectifs, et de ne conserver que l’essentiel, pour mieux « coller en permanence » à l’actualité.

 

Dans la rubrique « généralités » vous trouverez donc quelques éléments de base sur l’économie, et  en particulier l’économie mondiale.

 

En effet, il faut rappeler :

 

-  qu’une Loi nationale a une valeur juridique supérieure à un arrêté municipal,

-  que la Constitution a une valeur juridique supérieure à une Loi nationale,

-  qu’une directive européenne a une valeur supérieure à une Loi et à une constitution nationale,

-  qu’un accord international signé par l’Union Européenne en vertu des pouvoirs qui lui ont été donnés par les traités de Lisbonne a  une valeur supérieure aux directives européennes, aux constitutions des 28 pays membres, et bien sûr à leurs Lois nationales.

 

Il est donc fondamental de suivre de près toutes les négociations sur le commerce mondial (qui sont aujourd’hui du seul ressort de l’Union Européenne), car elles sont irréversibles, et ont des conséquences très fortes sur le quotidien de tous les citoyens. Le plus souvent elles se déroulent dans des conditions opaques, et tout est fait pour que les citoyens ne s’y intéressent pas. 

 

En cette année 2015, aucune ne s’inscrit dans le développement durable. Ce concept est évoqué, bien sûr, mais dans toutes les négociations sur le commerce tous les chapitres sont contraignants sauf…. le chapitre relatif au développement, durable, qui se limite à de simples vœux. Or, ce chapitre concerne l’Homme et l’environnement. Ce n’est pas rien.

 

L’exemple de l’accord transatlantique de libre échange, encore dénommé TTIP ou  tafta est emblématique. Non seulement, le volet « développement durable » n’est en aucune façon contraignant, mais en plus, on a construit un tribunal sur mesure pour défendre les intérêts des investisseurs. (Voir les articles qui lui sont  spécialement consacrés)

 

Cela montre clairement que pour l’Union Européenne (soutenue par les 28 Etats….)  les priorités sont le commerce et les investissements. Viennent ensuite, largement derrière, les droits de l’Homme, les règles de l’Organisation Internationale du Travail et le thème de l’environnement, pour lesquels on s’en remet à la bonne volonté des acteurs[1].

 

Voilà pourquoi, dans ce "volet économie", nous avons particulièrement approfondi le chapitre intitulé : "mondialisation Davos", qui contient des propositions concrètes pour rendre la mondialisation plus humaine. Pour l'essentiel, ces propositions émanent de la Commissison Européenne, de l'OCDE, du Parlement Européen et de l'Elysée.

 

Leur légitimité est donc difficilement contestable.

 

Bonne lecture ! N'hésitez jamais à réagir sur notre adresse électronique, en page d'accueil.

 

[1] Le comportement de certains Emirats (il y a de nombreux autres exemples) montre que des pays immensément riches sont capables de réduire à la misère des travailleurs, et que les multinationales qui opèrent dans ces pays ne dénoncent pas ces injustices.

 

 

 

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